Ses partenaires

 


Joe Alex

(danseur français, 1891-1948)

 

Il joua dans la Revue Nègre en 1925, dansant la Danse de sauvage aux côtés de J. B.  Avec elle, il enregistra en duo la chanson Voulez-vous de la canne à sucre.

Vu par Paul Colin, dans Le Tumulte Noir


Féral Benga

(danseur sénégalais, 1906-1957)

 

En 1926, les Folies Bergère, qui recherchent des figurants noirs pour les danses exotiques alors à la mode, l'engagent pour la revue « La Folie du jour », dont Joséphine Baker est la vedette, tandis qu'il joue du tam-tam. Il en fait une imitation comique dans un autre tableau. La presse le qualifie d'« Étoile noire », de « Mercure noir », de « bel Adonis nègre », de « splendide danseur noir » ou encore de « dieu de bronze » (Wikipédia)


Paul Meeres

(1902-1962)

 

Il fut le partenaire de J. B. aux Folies Bergère. Dans les années 1940, il avait créé un club "Chez Paul Meeres", aux Bahamas (Fleming Street, Over-The-Hill, New Providence).

 

Phot. Teddy Piaz, Paris.


Pierre Meyer

(1901 ?-1933)

 

En 1933, il succomba mystérieusement dans un hôtel de Rouen, où il était descendu avec deux amis. « Pierre Meyer, qui appartenait à une excellente famille parisienne, avait disposé d'une assez belle fortune. Beau garçon, danseur, chanteur et comédien, il était très répandu dans les milieux théâtraux, si bien qu'il ne tarda pas à réaliser son rêve d'être acteur. Il fut, au Casino de Paris, le partenaire de Joséphine Baker. Mais, en même temps qu'il dilapidait sa. fortune, Pierre Meyer s'adonnait aux stupéfiants, qui devaient causer sa perte.

» Le 5 janvier dernier, le comédien était arrêté pour émission de chèques sans provision, au moment où il allait quitter le Bourget en avion pour se rendre à Londres. Mis en liberté provieoire sous caution. le lendemain, Pierre Meyer s'installait à la maison de santé du château de l'Union, à Orly. Et c'est de là qu'il se rendit avec des amis à Rouen. » (Le Petit Parisien : journal quotidien du soir, 14 mars 1933.)

Comœdia, 11 avril 1933


Georges Orbal

(acteur français, 1898-1983)

 


Arthur Plasschaert

(1930-)

 

"Paris mes Amours", Olympia, 1959.


Georges Reich

(1926-2013)

 

Acteur, danseur et chorégraphe français, il créa les Ballets Ho et participa au spectacle Paris mes amours. à l'Olympia.…

Paris mes amours

d'André Hornez et Fernand Sardou, mise en scène de Georges Reich.


Frédéric Rey

 

Danseur soliste des Folies Bergère.

 


Alberto Spadolini

(1907-1972)

 

En 1932, Joséphine Baker le découvrit et en fit son partenaire au Casino de Paris (spectacles « Hawaï », « Singerie du XVIIIe », « La Féerie de l'eau ») — il allait être son partenaire jusqu'en 1935. Spadolini devint l'une des vedettes de la scène parisienne du music-hall. A cette époque, J. B. étudiait la technique classique de Vronska et d’Alperoff, danseurs au Théâtre Impérial Volinine — comme le signale la revue «The Dancing Time» de Philip J. S Richardson – qui avait eu aussi comme élèves André Eglevski, David Lichine et Tatania Riabouchinska.

Surnommé le Danseur Nu (il ne portait qu'une coquille dans certaines chorégraphies), Alberto Spadolini fut une figure célèbre du music-hall parisien. « Il fut à la fois danseur, chorégraphe, scénographe, peintre et décorateur de théâtre, acteur et metteur en scène, dialoguiste, poète, journaliste, illustrateur, chanteur, restaurateur … et résistant pendant la guerre. Un aspect peu connu de la vie de Spadolini est lié à son grand amour pour Joséphine Baker … » (http://www.albertospadolini.it/.../lespion-qui-maimait.../)

Dessin de Pierre Payen, 1933.

Casino de Paris, 1932

“Hawaii”, Casinò de Paris, 1933. Phot.  Collection Marco Travaglini / Atelier Alberto Spadoling.


Jack Stanford

(1900-1968)

 

Un danseur « excentrique ». Il fut son partenaire aux Folies Bergère, en 1927, dans la revue Un Vent de Folie.

 

« a male dancer who looks like a cross between Charlie Chaplin and Harold Lloyd absolutely to use the be-whiskered phrase, ‘brought the house down.’ An india-rubber puppet… but also such humour in his antics that were either too rapid to follow or else curiously rallentando-ed of a moving picture. » (article dans The Tatler.)

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